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Le Résumé de la rédac

Les acteurs du secteur de la formation professionnelle en France tirent la sonnette d'alarme concernant la dégradation du financement de l'apprentissage. Le souci principal est la baisse des niveaux de prise en charge (NPEC), qui met en péril certaines formations. Selon Julien Gondard de CMA France, les contrats d'apprentissage de niveau 3 et 4 ne représentent aujourd'hui que 37% des contrats signés contre 75% auparavant.

La difficulté de financement menace particulièrement les formations dans des métiers à faible effectif ou dans les zones rurales. Jean-Philippe Audrain, président de la Fnadir, appelle à une réflexion sur comment l'État pourrait orienter les ressources pour assurer un financement pérenne de l'apprentissage malgré une augmentation du nombre d'apprentis sans une évolution correspondante des sources de financement.

La baisse du coût du contrat, en moyenne de 7%, varie cependant énormément d'un secteur à l'autre. Par exemple, la branche des prothésistes dentaires a enregistré une baisse de 18%. La recherche d'un meilleur équilibre entre qualité et niveau de prise en charge est un défi que les acteurs du secteur doivent relever.

En conclusion, les professionnels du secteur de l'éducation et de la formation professionnelle appellent à une action urgente pour garantir le financement durable de l'apprentissage en France.

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