Le Résumé de la rédac
Le projet de loi Finance 2025 (PLF) introduit des changements significatifs dans le secteur de la formation professionnelle en France, dans un contexte de rigueur budgétaire. La réduction de l'aide à l'embauche d'apprentis, passant de 6 000 euros à 4 500 euros, et la diminution des exonérations de cotisations sociales pour les grandes entreprises (de 79% à 50% du SMIC) visent à rationaliser les dépenses publiques, après une année record d'un million d'apprentis en 2023.
France Compétences, chargé de financer l'apprentissage, subira une baisse de sa dotation de 500 millions d'euros, bien que les contributions à la formation professionnelle augmentent de 300 millions d'euros. Tandis que certains dispositifs comme les financements pour l'insertion par l'activité économique (IAE) sont maintenus, d'autres, tels que les emplois francs, vont disparaitre.
Le PLF est déjà confronté à de vives oppositions au sein du Parlement, ce qui laisse présager des débats animés. Face à cette instabilité, il est essentiel pour les acteurs de la formation de s'adapter et d'opter pour des outils tels que des logiciels de gestion, afin de se concentrer sur la qualité de leurs formations.
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