Le Résumé de la rédac
L'apprentissage en France combine l'enseignement théorique en centres de formation d'apprentis (CFA) et la formation pratique en entreprise, grâce à un contrat liant l'apprenti et l'employeur. La loi « Avenir Professionnel » de 2018 a élargi l'accès à l'apprentissage en augmentant le plafond d'âge à 29 ans et en modifiant les aides financières pour les employeurs et le financement des CFA.
Les apprenants peuvent préparer divers diplômes professionnels, incluant le CAP, le Baccalauréat professionnel, les bachelor universitaires et les diplômes d'écoles de commerce. Les jeunes âgés de 16 à 29 ans, ainsi que les travailleurs handicapés sans restriction d'âge, sont éligibles à ce dispositif. Les employeurs privés et publics, y compris les fonctions publiques, peuvent recruter des apprentis via des contrats à durée déterminée ou indéterminée. La rémunération est proportionnelle au SMIC, variant en fonction de l'âge et de l'ancienneté.
Les ruptures de contrat, qui doivent être notifiées, sont analysées à travers des données des organismes d'enregistrement. Deux méthodes de calcul sont utilisées pour évaluer les taux de rupture : brute et nette, chacune ayant des restrictions pour exclure certaines périodes. Ces évolutions permettent d'améliorer la suivi et la gestion des contrats d’apprentissage.
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